Ce soir, c’est LE soir : les enfants dorment, Monsieur est en vadrouille, plus de télé et pas de bon bouquin à lire, tout est réuni pour que je puisse enfin écrire !! Et pas écrire n’importe quoi s’il vous plait, pas un article au style familier à éditer dans des actualités mises à jour une fois par an sur un site consulté par trois personnes et deux chèvres… nan, ce soir, j’écris un Elevator Pitch ! Késako me demandes-tu? Ben l’elevator pitch, c’est simple, c’est une histoire d’ascenseur et de discours (facile jusque-là), en gros tu mixes les deux et ça fait : quand tu rentres dans l’ascenseur, t’es avec le/la boss, il/elle fait la gueule et t’ignore (je l’ai rajouté ça, ce n’est pas précisé dans la définition), toi t’es chaud-bouillant/chaude-bouillante, gonflé/gonflée à bloc, tu te lances et fais ton pitch – bref mais intense – et à la sortie, 30 secondes après, le/la boss te kiffe grave et n’a plus qu’une chose en tête: acheter vite ton produit et te revoir dans l’ascenseur. Tu peux retenir ton souffle et parler aussi vite que Julien Lepers dans Question pour un Champion. Tu me diras si ça marche…
Enfin dans mon cas ce ne devrait pas être trop dur, vous aimez déjà tous la bière ou presque, il suffit d’emporter une cannette dans l’ascenseur et le tour est joué!! Oui mais quand même, le but, c’est d’aimer ma bière sans même l’avoir goûtée, ou, mieux encore, ne pas l’aimer mais l’acheter quand même tellement vous me trouvez géniale, moins facile hein ?
Et bien c’est parti, je vous laisse, j’ai des trucs à faire…
C’est promis bientôt je raconte des choses intéressantes!
Ah oui, un autre truc avant que je vous laisse, si jamais un académicien lit cet article un jour (mdr): ce serait bien de rajouter le neutre ou le multi-genre à la langue Française parce que l’écriture inclusive, je ne vais pas réussir à y arriver.