À propos de

La brasserie d’à côté

L’idée de la brasserie d’à côté c’est d’avoir un endroit près de chez soi, où l’on peut aller à pieds ou en vélo, se retrouver entre amis, en famille, entre collègues ou avec des inconnus autour d’un verre et d’une collation, de production locale et saine. Les premières pages – la définition du lieu et la fabrication du breuvage qui va dans le verre – sont écrites, les autres viendront bientôt compléter le livre.

La braceresse

C’est moi la braceresse! Je n’aime pas la féminisation de brasseur et en cherchant un peu sur le net, j’ai trouvé ce terme de braceresse qui semble avoir été utilisé à une époque lointaine et qui me plaît beaucoup plus. Adepte de bière et lasse de travailler pour la World company, j’ai décidé de me lancer dans la merveilleuse aventure de la brasserie artisanale.

Pourquoi Madame Dusse?

Je sais que vous aussi vous vous posez la question, je cherche toujours la réponse…

Allez non c’était une blague, je vous explique. Pour commencer, parce que je suis une femme, donc j’aime assez l’idée de donner un nom féminin à mes bières.
Vous imaginez bien que je ne m’appelle pas Dusse et que mon mari n’est pas Jean-Claude… mais quand même si vous pensez à Jean-Claude, vous n’êtes pas trop loin de l’histoire! Comme beaucoup d’entre nous, je suis une personne active débordée qui a toujours un truc à faire ou à penser, et forcément j’oublie des choses, et forcément ça fait rire mes collègues quand je pars sans mes clefs ou que j’arrive sans mon PC et forcément je me suis pris un « un jour vous oublierez votre tête Madame Dusse! ». Le problème c’est que ça m’arrive plus souvent qu’à la moyenne des gens normalement constitués: je suis donc devenue la Madame Dusse du bureau.
Rien à voir avec la bière me direz-vous! C’est pas faux. Mais quand même un peu: ça parle de moi, je parle de bière donc ça parle de bière. Vous avez suivi où je vous explique le syllogisme avec Socrate le chat mortel? En plus le nom de domaine était libre et mes collègues épuisés par la réflexion intense que je leur imposais alors Victoria (ce n’est pas son vrai nom) en est venu à me suggérer de commencer par Madame Dusse et après, on ferait un brainstorming entre gens créatifs et sympathiques et on aviserait. C’est donc ce que nous avons fait.